Sylas is back !!!!

Jenny fut plaquée au mur avec son bras dans son dos qui lui faisait extrèment mal, puis en l'entendant dire qu'il allait s'amuser comme la dernière fois, elle palit tout d'un coup. Ses blessures ne s'était pas encore tout à fait effacer de sa mémoire et c'était trop douleureux pour elle, elle ne voulait pas qu'il recommence.

"On.. on peut peut-ête s'arranger autrement ?... la dernière fois vous m'avez eu j'ai été morte durant un moment... alors c'est bon..."

"Oh alors j'ai quand même réussit à vous tuer pendant un moment. C'est dommage que vous ne le soyez pas rester. Je parie que c'est vrai gentil fiancé que j'ai aperçut dans la forêt qui vous a sauvé la vie. Un jour j'espère que lui aussi, je pourrais le torturer. Ben oui, c'est de sa faute si vous êtes toujours là."

"Lui, vous le toucherez pas, il est plus fort que vous, vous ne l'aurez jamais... par contre s'il me retrouve et que vous êtes encore là je ne donne pas cher de votre peau"

Fit-elle sur la défensive.

"Et ça ferai un psycopathe en moins dans l'univers."

"Psycopathe ! Tout de suite les grands mots. Mais je suis honoré de se titre quand même. Et quand à votre fiancé, je l'attend de pied ferme, que je m'amuse avec lui. Bon arrétons de discuter et passons à l'action."

Il relacha un peu son étreinte de Jenny et l'obligea à se mettre à genoux. Il sortit de sa poche une corde et attacha les mains de Jenny derrière le dos. Ensute, il l'aida à se relever et la prit par le bras. Il l'emmena jusqu'au lit qui était dans un coin de la pièce. Il la jeta dessus.

"Bon maintenant, vous restez ici et vous la fermer, lui dit-il fermement. Sinon, vous allez encore plus m'énerver et je sais pas se que je vais vous faire."

Jenny avait du obeir à Sylas et s'était retrouvée a genoux pendant qu'il l'attachait dans le dos, ensuite il la leva et l'emena près du lit sur lequel elle le jetta dessus.

**peut-être qui va s'en allait ?
- Tu crois ça
- On sait jamais**

"Et pourquoi je devrais vous obeir" fit-elle en se redressant pour se mettre assise.

"Vous croyez que si vous me laisser seule ici, je ne vais rien tenter...."

**noie le poisson*

"Mais bon avec des mains attachés je n'irai pas loin"

Puis elle se renfonçant dans le lit en s'appuyant contre le mur, son regard se posa sur l'homme qui était mort à qq mètres d'elle. Elle n'avait eu le temps de rien faire, que ce malade l'avait deja envoyer dans un autre monde. La scientifique détourna le regard pour fixé un point imaginaire et en attendant que Sylas parte pour essayer de s'en aller.

"Comme si jallais vous croire mais j'ai deux trois choses à faire dehors. Alors, soyez bien sage sinon je me ferais une joie de vous torturez comme la dernière fois."

Il alla fouiller un peu dans la maison pour trouver de quoi attacher Jenny. Il regarde sous ce qui servai d'évier. Il trouva de la corde. Il la prit puis revint vers Jenny. Il la forca à se réavancer sur le bord du lit, puis lui attacha les pieds pour avoir moins de chance qu'elle ne s'échappe. Ensuite, il sortit un baillon se sa poche et le plaça sur la bouche de Jenny pour l'empêcher d'appeller au secours.

"Juste par précaution. Allez à plus tard."

Avant de sortir, il ramassa son arme et son couteau, puis, il ferma bien tout les rideaux des fenêtre. Ensuite,il sortit de la maison et prit bien soin de bien refermer la porte.

**Et merde**

Quand il se ravança pour lui attacher les pieds, bien qu'elle se débattait un peu, elle ne put rien faire.

"Vous êtes vraiment un cré......." mais elle ne put terminer sa phrase car se dernier la ballona et s'en alla.

Maintenant elle était la prisionnère et ne pouvait bouger.... cependant une idée vint lui traverser l'esprit, elle l'avait déjà fait il y a longtemps. Elle s'allongea sur le lit et sur-éleva ses jambes, puis elle essaya tant bien que mal de faire passer ses mains liés vers l'avant après quelques petites minutes, elle réussit en s'arranchant un bras mais elle n'y fit pas attention. Une fois les deux mains à l'avant, elle enleva le foulard qu'elle avait autour de la bouche puis elle s'attaqua à ses pieds en désérant les liens, elle s'y acharna pendant plusieurs minutes avant de les désérés totalement. D'un geste brusque, elle écarta ses pieds et la corde céda sous la force, vu qu'elle était libre de ses pieds, elle se leva et se dirigea dans la petite cuisine, elle farfouilla un peu partout met ne trouva rien de vraiment utile... à part une petite poele. Jenny la prit entre ses mains qui elles étaient toujours liées et elle attendit dans la cuisine juste à l'entrée de la porte près à asséner son coup quand il passerait.

Sylas avait eut une idée POur obtenir ses infos qu'l cherchait temps depuis sa première rencontre avec les Atlantes. Mais là, il venait d'avoir une idée diabolique qui le fit sourire. Puis il entra chez un quincaillier situé à l'extrémité de la ville, limite qui enfonçait dans la forêt.. L'endoit était désert. Seul le vendeur était derrière son comptoir. Quand il vit Sylas s'approcher, il se leva de son siège.

"Que puis-je faire pour vous ?"

Sylas regarda de tous les ôtés pour voir s'il n'y avait personne et sortit son arme et menaca l'homme.

"Déjà, tu vas fermer ton magazin et après on va discuter."

L'homme très éffrayé, fit ce qu'on lui demandait. Sylas le suivait avec son arme pour voir s'il n'allait pas tenter de fuir. Une fois fermé, le pauvre homme revint vers Sylas.

"Vous savez je n'ai presque pas d'argent."

"Je n'en ai rien à faire de ton argent. Je veux juste que tu fasses un petit travail pour moi."

"Quoi comme travail ?"

"Plutôt du genre, manuel. On va peut-être passer dans la remise pour voir ce que vous avez en stock."

Sylas lui fit signe d'avancer vers la petite porte situé derrière le comptoir qui menait la reserve. Sylas contourna le comptoir et suivit le vendeur. Quand, ils furent à l'intérieur, Sylas regarda ce qui pourrais bien le servir. Lorsqu'il eut trouvé son bonheur, il esquissa un sourire.

"Tu sais bricoler j'espère. T'as des clous et des planches et bien tu vas me construire une belle petite boite pour une gentille madame qui m'attend. Alors, tu vas te dépécher de commencer car je ne suis pas très patient et tu as plutôt intérêt à aller vite snon je m'énerve facilement."

L'homme n'en demanda pas plus sous peine de déclencher la colère de Sylas. Il se mit tout de suite au travail. Après plus de deux heures de boulot intensif. L'homme était exténuer après autant de travail.

"Volà, j'ai fini. Maintenant que j'ai fait ce que vous vouliez, laissez moi tranquille."

"Non, j'ai encore un petit travail à vous demander."

Sylas alla regarder par une petite fenêtre. Le soleil commençait à décliner doucement.

"Bon alors, vous et vos petis bras musclés, vous allez sortir par la porte de derrière qui doit donné sur la forêt si je ne me trompe pas avec votre oeuvre. On va marché un peu dans cette forêt et là bas, je vous demanderez encore autre chose."

"Mais ça ne va pas, je ne vais jamais arrivé à trainé cette chose."

"Dois-je vous forcer la main mon cher, lui dit-il en le menaçant de son arme."

L'homme déglutit de peur que Sylas ne le tue.

"C'est bon, je vais le faire."

L'homme fit comme il put pour emmener sa grande caisse et sortit par la porte de derrière. Avant de sortir, Sylas alla prendre une pelle ranger un peu plus loin, un marteau et des clous, puis sortit.
Ils marchèrent dans la forêt environ pendant une heure. L'homme souffrait de plus en plus. Il n'en pouvait plus car il était à bout de force.

"Bon, on va s'arréter là."

L'homme s'arréta instantanément, mort de fatigue. Il tomba à genoux.

"Bon allez, juste une dernière chose et après tot sera fini."

"S'il vous plait, je n'en peut plus. Laissez moi partir, supplia t-il.

"J'en ai plus qu'assez de vous entendre toujours vous plaindre. Donc vous allez prendre cette pelle et me creuser deux jolis trous assez profond. Tout de suite !!!"

Malgrè que l'homme n'en pouvait plus, il prit la pelle que Sylas avait mis devant lui et commença à creuser. Au bout d'une heure et demi, il eut enfin fini.

"Ah ben voilà. Allez juste une dernière toute petite chose. Met la caisse dans trou et grouille toi."

L'homme, en sueur, s'éxécuta de nouveau. Il descendit la boite.

"Maintenant, laissez moi partir."

"Ne t'inquiète pas, tu vas partir."

Sylas pointa son arme vers le pauvre homme et lui tira dessus. Le vendeur tomba à terre, mort.

"Voilà, t'es partit."

Il rangea son arme, puis traina l'homme vers le deuxième trou qu'il avait fait et qui était vide. Il le jeta dedans. Puis, il alla chercher la pelle et commença à reboucher le trou avec le pauvre homme. Il se dépêcha de le faire. Une fois finit, il posa la pelle et s'essuya le front qui était en sueur.

"Ne jamais laisser de preuve derrière soi."

Puis, il fouilla dans ses poches et en sortit le marteau et les clous et les posa sur le sol.

"Bon, retournons voir l'autre maintenant."

Il retourna au village.

Une fois revenue au village, la nuit était déjà coucher. On pouvait encore un peu apercevoir le soleil. Il alla vers la maison, ouvrit la porte qui était fermé à clé, et entra. Il regarda le lit où était supposé être Jenny mais elle avait disparut.

**Où est-ce qu'elle est encore celle là ?**

Pendant ce temps là, dans l'auberge, John et Teyla attendait toujours que Jenny daigne revenir. Mais les minutes s'écoulaient, sans voir le retour de Jenny. Ils trouvèrent ça assez bizarre. John regarda sa montre et vu l'heure déjà avancer de la journée.

"Bon, où est-ce qu'elle est passé encore ?"

**Encore en train de dévaliser un épicier ?**

"Bon, allons voir où elle est."

Ils payèrent leur consommation, puis, ils sortirent.

Il s'avança un peu plus dans la pièce en sortant son arme. Il ragarda tout autour de lui et était attentif au moindre petit bruit suspect. Bien qu'il regarda tout autour de lui, il n'avait pas bien regarder derrière lui.

"Jenny, où es tu ? Je sais que tu aimes bien jouer avec moi alors montre toi."

Jenny sentait le stress montait de plus en plus notament quand elle entendit le cliquetis de son arme, elle respira calmement en attendant le bon moment. Les pas de Sylas s'approchait vers elle, la scientifque passa sa tête légérement dans l'entre baille de la porte et le vit de dos, elle décida d'agir. Elle sorti doucement et avança sans faire de bruit dérrière Sylas et là .... (hj: vu que cette scene vas etre très violente nous mettons une pub de bambie MMDRRRR) elle lui asséna violement la poele sur a tête, il s'écroula par terre.

Ensuite elle lacha son poelon et s'abaissa pour chercher les clées de la maison cette fois ci elle les trouva, elle les prit et fonca vers la porte d'entré, elle essaya la premiere clé mais rien ce n'était pas la bonne. Une auter meme résultat.

**la troisieme c'est la bonne**

Et indeed le cadena sauta au tour de clée manque de chance, elle n'avait pas fait attention que le grand méchant Sylas s'était réveillé et s'avançait vers elle.

Sylas ne vit pas Jenny ariver par derrière et l'assomer violemment. Il tomba au sol. Alors qu'il avait encore les idées embrumées, il vit Jenny lui avait pris les clés de la maisoon. Il se releva en vitesse tandis que Jenny tentait d'ouvrir la porte. Pour l'effrayer, il alla vers elle et lança son couteau qui passa à quelques centimètres de la tête de Jenny et alla se planter dans la porte en bois.

"Si j'était vous, je ne ferez pas ça."

En même temps, il avait sortit son arme et visait la tête de Jenny.

"Car je n'hésiterais pas à tirer quitte à se que ça alerte vos amis."

A la vue du couteau planté dans la porte Jenny se recula en vitesse, puis elle regarda Sylas qui la pointé de son arme, elle commençait à en avoir marre et pas qu'un peu.

"Sylas ? vous savez quoi.... je commence à en avoir marre de vous, on ne retien pas quelqu'un prisonnié comme ça et qu'est-ce-que vous allez faire hum !! vous allez me tiré dessus et ben allez-y"

La scientifique commençait à être à bout de nerf et l'arme pointé sur elle n'arrangeait pas les choses. Elle s'avança vers lui d'un pas et s'arréta puis en le regardant dans les yeux elle lui fit:

"Ou alors vous allez encore m'attacher à une chaise et me torturé pour peut-être ajouté à vos informations que maintenant j'adore aller à la cafétariat... imbécile" marmona-t-elle entre ses dents pour le dernier mot.

"Vous tuer ne me servira à rien. Et merci pour votre info supplémentaire. Je la rajouterais sur ma liste. Et en ce qui concerne le fait de vous torturez, ce n'est pas l'envie qui m'en manque."

Sylas alla prêt d'elle et se mit derrière elle. Il la poussa pour qu'elle avance. Ensuite, il prit une chaise et fit asseoir Jenny dessus.

"Vous savez, vous aussi vous commencez à n'éverver au plus haut point et j'en est assez."

Il commença à lui tourner autour. Soudain, il se stoppa derrière elle, la prit par les cheveux et lui pensa la tête en arrière.

"Alors, écoutez moi. Vous pouvez toujours faire comme la dernière fois, me dire n'importe quoi sur votre cité mais ce soir, vous rigolerez moins t vos amis non plus."