Sylas is back !!!!

Sylas encaissa une nouvelle droite en pleine tête.

**Ah non là il y en a marre.**

Ensuite, il regarda Teyla qui cherchait quelques choses dans la maison, pui elle revint. Elle avait posé une planche de bois à côté de lui. Ensuite, elle lui avait un peu détaché la main sans qu'il puisse tout de même se détacher totalement. Puis, elle lui plaça la main sur la planche et vint fapper un de ces doigt avec un marteau. La réaction fut immédiate. Sylas poussa un cri de douleur. Sa respiration devenait de plus en plus rapide. Il serra des dents et ferma les yeux pour essayer de ne plus penser à la douleur qu l'envahissait de plus en plus.

"C'est quand vous voulez".

"Jamais ! Allez vous faire voir !"

Sylas souffrait le martyr. La douleur était insupportable. Mais il devait résister au maximum pour perdre du temps. A chaque doigt écrasé, une grande douleur le parcourait de haut en bas.

"Vous savez... vous ne valez pas mieux que moi en me torturant. Vous êtes descendu au même niveau que moi."

Sylas ne sentait plus sa main droite vu que tous ces doigts étaient en morceaux. Il essaya de se ressaisir un peu quand soudain, Teyla lui ouvrit son chemise et lui plaça une lame de couteau.

"Vous allez me faire quoi maintenant ? Me découper en morceau ? Mais alors, je ne vous servirez plus à rien dans ce cas là. Mais pour le momentj'ai toujours rien envie de vous dire. Peut-être plus tard, qui sait !"

Pendant ce temps:

Le temps s'émiettait de plus en plus... cela faisait maintenant une heure.. ou moins.. ou plus qu'elle était coincée dans ce caisson.... elle n'en savait rien, elle avait perdu la notion du temps. Mais pour elle cela faisait une éternité, chaques secondes pour elle, passait pour des minutes, chaques minutes était des heures et peu à peu... la scientifique devenait folle sans pour autant crié, s'agité car elle n'avait plus la force de lutter et elle s'était peu à peu refermer sur elle même, elle ne faisait pensé...

Plus le temps avancé et plus Jenny était désespérée, elle avait arrété de pleurer et fixait l'obscurité glacial avec de grand yeux ouvert. Elle commençait à trembler au fur et a mesure du temps. Vu le tas de terre qui était au dessus de sa tête, de plus elle sentait de la fraicheur traversait les planches de bois... et ses joues, ainssi que ses mains, ses pieds et tout son corp commençait à se frigorifier. Bien que son cerceuil était assez petit, elle avait tout de meme réussit à se recroqueviller sur elle même légérement, en position presque foetale, elle aurait voulut plus mais si elle forçait, la scientifque avait peur que cela céde... surtout qu'elles n'étaient pas épaisses les planches.... et elles s'humidifiaient de plus en plus au fil que la nuit qui passait.

La jeune femme pensait à des choses futiles qui l'aidait à sortir de sa torpeur.... bien quand réalité ce qu'elle faisait était tout le contraire de ce qu'elle croyait, car ce qu'elle pensait était signe qu'au plus profond d'elle même qu'elle savait qu'elle allait y rester... Jenny pensait à des souvenirs d'enfances calmes, souvenirs entouraient de flou et d'une brume blanche bleuté.. Elle repensait à des jeux qu'elle faisait étant petite, essayer de se souvenir d'odeurs qu'elle aimait comme par exemple les patisseries que sa mère lui faisait avec tendresse.... Des couchés de soleils qu'elle pouvait voir de la terrasse de son jardin et qui bercait l'horizon de ses doux rayons orangé, l'air chaud de l'été qui venait éffleurer son visage. Mais ses souvenirs paisibles se troublèrent en repensant à son pere. Père qui depuis l'âge de ses 9 ans la battait lorsqu'il avait un peu trop bu... elle se souvint alors qu'elle s'enfermait dans sa chambre et regardait pendant de longue heures par sa fenêtre de chambre, les étoiles qui éclairaient le ciel de leurs lueur blanche, s'imaginant de pouvoir s'envoler vers d'autres mondes pour échapper aux griffes de son père... sa mère le laissant faire car elle même avait peur de son mari.

Cependant à cet instant précis, la scientifique qui avait toujours refusait de pardonner à son père se sentait capable de le faire, elle était démunie de ses forces physique... mais aussi morale. La moindre chose qu'on lui aurait dite à ce moment prècis, elle l'aurait cru ou fait sans réfléchir, dans une catatonie à toute épreuve, tel un robot.

Puis tombant en hypothermie, elle trembla de tout son petit corp, c'est la que des pensées encore plus tragique l'envahi. Pour Jenny elle allait mourir, c'était sûr et certain mais ce qui lui faisait mal, ce n'était pas ses poignets liés, ce n'était pas son corp, c'était sa tête... tête qui pensait qu'elle ne verrait plus celui qu'elle aimait, bien qu'elle l'évitait, son cerveau était en lutte et séparé en deux partis. Une parti qui voulait se rapprochait de John malgrè ce qu'elle avait apprit et une autre qui lui disait de fuir au plus loin. Car elle savait que le militaire aurait des problèmes et que probablement, il ne voudrait pas avoir d'enfant mais ça elle n'en savait rien... et ne rien savoir la faisait lutter psychiquement. Mais maintenant à force des dizaines et dizaines de minutes passait dans ce cerceuil... cerceuil qu'elle n'aurait jamais voulut voir et surtout pas de l'interieur... Elle commencait à assimiler ce que Keller lui avait dit en debut de matinée. Certe cet enfant ne serai peut-être pas le bienvenue mais elle voulait le garder... chose qu'elle ne savait pas encore ce matin.. car après tout il avait été concu dans l'amour le plus total et on ne pouvait réfuter ça. Ce qui lui était dur là et elle sentait une boule se reformer dans sa gorge et des secousses l'envahir dut aux larmes qui allaient bientot arriver en plus des tremblements. Maintenant qu'elle allait mourir, elle ne pourrait jamais le voir le visage de lui ou elle et elle ne pourrait jamais le connaître et ça.... ça la fragilisée encore plus que ce qu'elle était déjà en ce moment.

Tout doucement, elle recommença à pleurer à chaude larmes toujours dans l'obscurité la plus totale, elle respirait de plus en plus difficilement et appé de grande bouffé d'air... ce qui diminué ses chances de survi. Mais c'était plus fort qu'elle, la scientifique n'arrivait pas à se contenir et elle se laissait aller à un désespoir le plus totale en pensant à toute les merveilleuses choses qu'elle ne connaitra plus ou qu'elle ne connaitra jamais. Et elle detestait ce sentiment, elle se sentait oppréssée enfermer dans une bulle que rien ne pouvait percé, la panique l'envahissait de nouveau, dans un geste brusque, elle relacha ses jambes et ses pieds allérent frapper avec une certaine violence le fond de la caisse.. choses qu'elle n'aurait pas dut faire.....

Toujours en poussant des gémissements par les pleures, elle entendit un léger craquement, elle releva sa tête pour ne rien voir et la reposa contre les planches qui étaient maintenant mouillés par l'humidité. Là, elle entendit un autre craquement, ce qu'elle s'imagina la térrifia. Si le cerceuil venait à ceder, se serait fini d'elle. Sa respiration était de plus en plus rapide et elle suffoquait en fermant ses yeux... mais là un craquement encore plus sinistre que les deux autres se fit entendre. Puis quelques secondes plus tard le pire arriva... les planches situaient au bout de la caisse céderent. Jenny sentit un poid s'amasser sur ses pieds, elle poussa un petit cri d'horreur, elle ne voyait rien mais sentait une masse s'avancait vers le haut de ses jambes.... mais par chance cela s'arréta au niveau de ses cuisses la terre n'avait pas tout envahi.

La jeune femme n'osait plus bouger maintenant, elle ferma les yeux et ne pensa même plus.... elle n'en avait plus la force. Jenny savait qu'il ne fallait pas qu'elle s'endorme.. mais la c'était trop tentant, elle se sentait beaucoup trop faible et de plus elle était frigorifier ce qui n'était pas bon pour elle et donc encore moins pour son enfant aussi jeune soit-il. Elle commença donc à s'endormir petit à petit en se laissant mourir... c'était là la seule solution pour elle. Au bout d'environs une dizaine de minute, la scientifique s'endormie ne laissant que les tremblements dut à son hypothermie la secouer par intermitence..... bien qu'au bout d'environ un bon quart d'heure, ces secousses s'arretèrent... son corp était trop glacé pour ça et sa circulation sanguine était au ralenti beaucoup trop au ralenti. Si on ne la sortait pas d'ici dans la prochaine heure, il était certain que cette fois... se serait la dernière pour elle.

Sylas serra des dents pour de pas crier une nouvelle fois mais là, c'était de trop. Il était en train de craqué. Il ne supportait plus la douleur. Tandis que Teyla était en train de l'ouvrir, il tirait sur les cordes qui le retenaient pour essayer de se libérer mais sans grand succès.

"Bon d'accord, je vaix vous dire où elle est !!! Mais arrétez ça !!!!"

**Compte dessus**

Sylas s'appréta à leur donner de fausses informations pour leur faire perdre du temps.

"A la sortie du village, il y a une espèce de petite ferme abandonnée qui tombe en ruine. Elle est là bas."

**Essaye de gagner du temps pour essayer de te barre d'ici.**

"Maintenant que je vous l'ai dit, laissez moi partir."

John qui était resté silencieux tout au long de la scéance de torture, s'approcha de Sylas.

"Non pas maintenant, pas tant qu'on ne l'aura pas retrouver et si tu nous as menti, c'est moi qui m'occuperais de toi la prochaine fois."

Puis, il alla prendre son P-90 et donna les affaires de Teyla.

"Bon, allons voir ça de plus prêt."

Ils sortirent de la maison pour aller voir si Jenny se trouvait bien là-bas. Ils laissèrent Sylas, toujours attaché au lit.

"Je vais le tuer cet enfoiré, dit-il en prenant son 9mm et l'arma."

John repartit vers le village sans attendre Teyla qui lui emboita le pas mais il était déjà loin car sa colère l'animait.
Arrivé au village, il regarda sa montre qui affichait presque 3h du matin. Plus que deux heures devant eux et peut-être moins.
Il rentra dans la maison en trombe, arme à la main et il se dirigea directement vers Sylas, toujours attachés. Il lui planta encore son 9mm sur le front.

"Ecoute moi ordure, j'en ai assez de tes conneries, alors, tu vas me dire où elle est tout de suite, où cette fois ci je t'explose vraiment la cervelle."