Quartier de Jenny Sunrise {Agrandit}

Jenny sourit légérement lorsque John prit mégane dans ses bras pour lui faire un petit calin, elle en profita pour déposer un baiser sur la joue de la petite fille avant de faire de même avec John et de s'afférer dans le coin cuisine rangeant et rincant ce que mégane avait utilisé. Elle entendit par derrière des éclats de rire et se retourna une main sur sa hanche, avec un air légérement desespérer avant de sourire. John était et resterait à jamais un grand enfant.

"Ne l'énerve pas trop sinon, elle n'arrivera pas à dormir."

Puis elle continua ce qu'elle faisait (sans jamais préciser mdr), puis une fois tout fait elle se dirigea vers John qui venait juste de mettre mégane au lit. Malheureusement avec la nuit qui approchait et qui remplissait doucement lezs quartiers de la scientifique vers une obscurité certaine.. ces soucis et démons interieurs reprenaient le dessus. Même si la présence de John l'appaisait, elle ne savait pas si se serait suffisant face à son inconscient qui lui rappelait au fur et à mesure ses souvenirs passés. D'ailleurs rien que le fait d'y repensé lui donnait un mal de crane progréssif.. mais où elle avait mit les médicaments que Jennifer lui avait donné... peut-être dans la salle de bain ?

"Mieux ?... on va dire que oui" fit-elle en se frottant un bras, nervosité ? maybe.

"Le Dr Keller m'a annoncer que j'avais un manque d'une certaine molécule, la sérotonine.. inconvénient d'après grossesse disons. C'est pour ça que j'ai fais une sorte de malaise dans ton bureau.."

Elle lui tourna le dos avancant de quelque pas, elle n'allait aps lui dire qu'elle commencait à se souvenir et ce stress de faire attention pour ne rien dévoiler... augmenta son mal de crane. Puis soudain, un nouveau flash back intervint, faisant apparaitre le visage de Sylas (trop de stress c pas bon hein mdr). Elle inspira profondément avant de voir qq scénes par fragments. Comme les nombreuses droites qu'elle s'était prise mais également ce couteau qui l'avait un peu beaucoup déshabillé (pervers sylas quand meme)... et ces images continuaient et continuaient. Créant ainsi une nouvelle absence pour une personne extérieure, sauf que maintenant une angoisse très forte prit la scientifique comme si ce flash back prenait posséssion sur la réalité qui l'entourait...

John ne fit pas attention à Jenny qui alla un peu plus loin dans la pièce. Il était trop occupé à regarder Mégane s'endormir comme un gros bébé^^. Puis, quand il se retourna vers la jeune femme, il vit que quelque chose n'allait vraiment pas. Comme dans son bureau. Il s'approcha d'elle assez rapidement.

"Jenny ! Ca va aller. Respire un bon coup et ça va passer."

Puis, il posa sa main sur son visage afin de lui caresser légèrement la joue. Ca lui faisait mal au coeur de la voir dans cette état. Il espérait grandement que cela ne dur pas trop longtemps.

"Jenny ! Ca va aller. Respire un bon coup et ça va passer."

La scientifique avait les yeux dans le vide, et peut être que même si on lui avait passé un rayon lumineux devant ses pupilles, elles n'auraient pas réagit. Elle sentait bien le contact qu'il y avait sur sa joue. Mais dans son "délire" elle pensait que la présence qui se trouvait à côté d'elle n'était autre que Sylas. En effet ses souvenirs étaient maintenant tous là et n'étaient pas près de s'en aller. Jenny revit son traumatisme que son subsconscient avait si soigneusement caché jusqu'à présent. Et c'était vraiment dur pour la jeune femme, elle se souvenait même de certaine douleur qu'elle avait éprouvé. Puis tout s'enchaina assez rapidement ne revoyant que les moments les plus sinistres... tel les clou enfoncé un a un, a chaque fois qu'elle ressentait cette douleur elle plissa les yeux avant de se reculer et prendre sa tête entre ses mains.

"Nonn !!... stop aiiiiiee" fit-elle d'une voix térrorisé tout en se courbant. Dire qu'elle était en train d'extérioriser tout ce qu'il s'était passé. Son esprit avait préféré effacer tout ses souvenirs douloureux. C'était une facon de se protéger un mode autodéfense, mais maintenant que ça resortait, c'était d'une violence inouie.

Puis soudain elle entrevu dans son esprit embrumer, le fameux tisonier de Sylas, alors ça c'était le bouquet. Elle voulait que ça s'arrête et vite car elle avait l'impression que sa tête allez prendre feu... Jenny avait beau vouloir stopper ses souvenirs, sa tête ne voulait rien savoir ^^. Avant de ressentir cette douleur toujours par réminiscence qui elle le savait été pénible, elle se jetta sur John qu'elle sentait rapprocher. Bon elle ne le voyait plus comme son fiancé mais plus pour son agresseur. Jenny se mit à lui tapper sur le torse par des coups de poing qui faisait tout de même mal avant de lui mettre une droite de force moyenne.

"Lache moi, ne m'approche pas... pourquoi... pourquoi tu me fais toujours autant soufrir..."

Elle avait dit ca d'une voix douloureuse avant de se ravancer vers lui toutes griffes dehors. Mais à ce moment là elle se mit à pousser un gémissement alors que des larmes montaient. En effet elle venait de se souvenir de la douleur qu'elle avait eu... une chaleur imense lui brûlant sa chair si fragile, ce dernier appuyant comme un connard rien que pour la faire souffrir d'avantage.

"Non" fit-elle en d'une voix sérré alors qu'elle ravaler sa salive.

John ne comprit pas les prochaines minutes qui suivirent. Rapidement la jeune femme "péta littéralement un plomb". Les inquiètudes du militaire se fondèrent de plus en plus. Keller avait vraiment eut raison, elle se souvenait de tout. Pas bon signe du tout. Elle avait l'air de souffrir.

"Nonn !!... stop aiiiiiee"

Vu qu'elle s'était un peu éloigné dans la pièce, John vint à côté d'elle pour essayer de faire quelques choses pour elle même si'il ne savait pas quoi.

"Jenny ! Tout va bien maintenant, tu n'as plus rien à craindre."

Mais même avec ses paroles, Jenny se jeta sur lui pour lui asséner plusieurs coups au torse avant de terminer par une moyenne beigne de fillette. Vu son état, c'était normal qu'elle ne fasse pas mal en frappant.

"Lache moi, ne m'approche pas... pourquoi... pourquoi tu me fais toujours autant soufrir..."

Alors qu'elle commençait à se redeconnecter de la réalité, John en profita pour lui attraper les deux poignets pour ne pas qu'elle ne le frappe de nouveau.

"Ecoute moi, je ne suis pas Sylas et il n'est pas là. C'est John. N'ai plus peur."

(HJ : c'était pas le coup de pied dans les couilles mais c'est pas grave.)

En moins de temps qu'il fallait pour le dire, John fit un 360° avant de se retrouver dos au sol. On pouvait dire qu'il avait fait un beau vol plané, mais l'atterrissage laissait encore à désirer.

**Faut qu'elle arrête les entrainements avec Ronon.**

Il commença à se relever pendant qur Jenny était à terre, enfin calmé. Il accourut vers elle avant de s'agenouiller pour voir comment elle allait. Vraiment pas bien. Elle était en train de pleurer. Quelques larmes étaient encore présentes sur ses joues et d'autre ne demandaient qu'à sortir.

"Je suis là maintenant, lui sussura t-il à l'oreille."

Puis, il s'assit à côté d'elle et la souleva légèrement avant de se glisser sous elle pour la maintenir dans ses bras (je fais comme tu m'a dit). Ensuite, il se releva pour la déposer doucement sur le lit. Il alla chercher une couverture pour la mettre sur la jeune femme pour la réchauffer. Pour reste près d'elle, il s'assit sur le bord du lit et lui prit sa main pour la réconforter. Il avait pitié pour elle et ne savait pas quoi faire pour le moment.

"Tu n'as rien fait pour mériter ça, je te rassure. Maintenant, je suis là pour veiller sur toi. Tout ça c'est finit pour de bon. Il n'y aura plus de prochaine fois car si je le vois, je lui réglerais son compte une bonne fois pour toute."

Jenny l'écouta d'une demi oreille. Elle savait bien qu'il essayait de la réconforté en lui disant ce qu'elle voulait entendre, malheureusement ces genres de promesse là était assez dur à tenir. Sylas arrivait toujours à l'avoir même lorsque John était là mais également avec un autre dégénéré du cerveau, j'ai nommé Koyla. Lui aussi on ne pouvait savoir à l'avance qunad il allait attaqué et c'est pour cela qu'on arrive toujours pas à le tuer ^^ (tu vois il est pas mort KOKO en force !!!). A ses caresse dans son dos par dessus la couverture, Jenny se sentit un peu mieux et petit à petit ses larmes séchaient d'elles même. Ce n'était pas pour autant qu'elle allait mieux loin de là.

"Peut-être.. mais il revient toujours... toujours. Et même si on arrivait à le tuer, il ma marquait à vie que se soit.. psychologiquement ou.. de cette maniére" fit-elle d'une voix sérré, avant de prendre de sa main celle de John et de la glisser sous les couvertures, pour la déposer sur son ventre après avoir soulever son débardeur. Lui laissant découvrir comment ce connard s'était amusé.

"Je sais que ca peut... te dégouter... et je ne t'en voudrais pas... si c'est le cas... et si seulement il y avait que ça.."

Elle regarda la plafond avant de se mordiller sa lèvre inférieure, cela faisait un moment qu'elle voulait le lui dire et son psychologue lui avait dit d'aller dans ce sens. Mais Jenny n'avait encore oser car de un cela l'humilier et de deux elle avait peur de la réaction de John. Mais d'un autre côté s'il n'avait pas comprit qu'il y avait autre chose à la fin de sa phrase, elle ne s'attarderait sur le sujet.

John retira sa main quand Jenny lui fit comprendre d'arrêter. Cela devait être vraiment grave ce qu'elle avait à lui dire. Le militaire se poussa un peu tandis que Jenny se relève légèrement et commença son récit. Mais lorsqu'on arriva au dénouement et que Jenny lui annonça cette terrible nouvelle, ses yeux s'éacqruillèrent d'eux même et resta bouche bée. Sur le moment, il resta comme... paralysé. Des mots voulaient sortir de sa bouche mais une barrière les empêchait de sortir de sa bouche et de s'exprimer.

Pourquoi ne lui avait-elle pas avouer avant ? Pourtant toute cette histoire date d'un sacré moment. Mais une telle chose ne doit pas être une chose facile à dire. Et, cela doit être un lourd fardeau à porter toute seule. Mais, le militaire pouvait la comprendre. Elle n'avait pas envie de l'avouer à son fiancé, chose normale.

Après un long silence très pesant dans la pièce, John se "décoinca" et se décida à relever les yeux vers Jenny.

"Jenny, je... euh... je sais pas..."

Le pilote était plus que déboussoler. Une telle annonce était dur à digérer. Il balbutiait plus qu'il n'alignait de mot dans une phrase. Plutôt que de lui dire des mots, il préféra les gestes à la parole. John s'approcha de la jeune femme pour la relever et la prendre dans ses bras pour lui faire un top méga giga calin.

"Je suis désolé, lui sussura t-il à l'oreille."






[HJ : 3000 posts !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! c'est la fête !!!!!!!!!!!!!!!!!]

(HJ: good boy who have 3000 postes XDDD)

"Jenny, je... euh... je sais pas..."

La scientifique qui était aux bords des larmes, et le silence qu'avait crée le militaire la méttait de plus en plus mal à l'aise. Déjà que ce n'était pas si facile de l'avouer et assez humiliant... A ses balbutiements Jenny leva les yeux vers lui mais il était plus choqué qu'autre chose, ce qu'elle pouvait comprendre. Maintenant elle avait apprit à l'accepter mais le premier mois avait été difficile. Puis John la regarda enfin et sans dire un mot, il la releva pour la prendre dans ses bras. La scientifique fut surprise par ce geste.. elle s'était attendu à tout, à du dégout, de la colére... mais ça pas vraiment. Doucement elle l'encercla de ses bras et laissa John la sérrer. C'était l'un des meilleurs réconfort qu'elle avait eu depuis bien longtemps. A son murmure, elle ravala sa salive avant de pousser un soupir.. elle se sentait vraiment bien à cet instant précis.

"Ce n'est pas toi.. qui devrait l'être"

Puis elle le sérra quelque peu.

"Merci...

"I love you so much.." murmura-t-elle toujours lové dans ses bras.

Le pilote resserra son étreinte sur la jeune femme.

"I love you too sweet heart."

Ils restent enlacés encore quelques instants avant que le militaire lacha Jenny, pour se rasseoir un peu mieux sur le lit.

"On devrait aller dormir. Ca ira mieux demain, tu verras, lui dit-il tout en caressant sa joue du revers de la main."

Il se leva du lit et força la jeune femme à se rallonger sur le lit. Puis, il fit le tour pour aller s'allonger de l'autre, aux côtés d'elle. Il ne prit même pas la peine de se metre sous les couvertures mais posa tout de même ses chaussures pour ne s'alir le lit. Ben oui, les draps, sa va bien, on va pas les changer tous les jours non plus. Enfin bref. Il se rapprocha le plus possible de la scientifique pour qu'elle se sente rassurée. Il passa son bras par dessus elle et sa main, se posa sur le ventre de la jeune femme (je précise, on ne sait jamais). Puis, il alla l'embrasser délicatement dans le cou.

"Goodnight sweet heart."