Quartier de John Sheppard

Citation :

"J'y crois pas, il a la gaule"

Citation :

"Dit moi une petite chose. Est-ce que tu as... enfin tu vois... avec une femme ?"

Citation :

"Non... tu n'as jamais fait ça avec une femme !!"

 Cellule

Sylas avait atteint son but : libérer Kolya pour poursuivre la mission qui était en cours. L'espion avait vraiment aider à la réussite de la première partie de cette mission. Il avait même prit la peine d'aller voler des uniformes pour son compatriote Genii et pour lui même. Le Commandant fit même une remarque sur la couleur de son uniforme qui apparemment était la couleur des scientifiques et qu'il allait être accorder à sa bien aimée Jenny. Le temps que Sylas changea de tenue, Kolya alla s'entretenir avec son espion. Mais ce qu'il n'avait pas prévu, c'est que Kolya se débarrasse de son très bon élément de la plus sinistre des façon, en lui craquant les cervicales. Le pauvre homme tomba raide mort, sous le regard de Sylas.

"Quoi ? S'il se fait attrapé il pourrait donner des informations sur la suite des évènements je ne prends aucun risque... Et j'espère que si malheureusement cela vous arrive vous tiendrez votre langue, même sous la torture. Les Atlantes ne sont pas agressif... j'ai même été soigné. Cependant, nous allons nous attaquer à la progéniture protégé de leur cité. En plus des parents sur le dos, nous allons avoir toutes la cité. J'espère que vous êtes bien préparé...."

"Il ne faut pas vous inquiétez pour ça. Du moment que je puisse les faire tourner en bourrique surtout ma douce et tendre Jenny. J'espère voir la douleur sur son visage avant de partir. Cela me manque tellement."

Une fois leur petite discussion terminée, les deux vilains de l'histoire s'engouffrèrent dans les couloirs de la cité en direction des quartiers de la famille Sheppard. Le plan dans les mains, Kolya passa le premier. Ils essayèrent le plus discrètement possible pour ne pas se faire remarquer. Normalement, il avait encore un peu de temps avant la relève de la garde devant l'ancienne cellule du Genii. A partir de ce moment là, ils allaient devoir faire le plus rapidement possible car une fois l'alarme déclenchée, ils n'allaient plus avoir un moment de répis. Apparemment, les quartiers qu'ils recherchaient étaient situé deux étages au dessus d'eux. Ils s'y rendirent assez rapidement. Par chance, la zone des quartiers n'étaient pas trop remplie à cette heure ci de la journée.

"C'est votre plan, donc à vous l'honneur."

Il ne restait plus qu'une porte entre eux et leur butin qui devait surement être en train de jouer derrière cette fameuse porte.

Sylas avait une âme de gentleman aujourd'hui. Il laissa la place au Genii pour ouvrir la porte des quartiers et une fois que cela fut fait, ils entrèrent et trouvèrent la fillette sur le sol, en train de jouer avec de vulgaires poupées. A son âge, Sylas jouait déjà avec des couteaux. Ces Atlantes étaient plus que mous quand même avec leurs enfants. Ce n'était pas comme ça qu'ils allaient lui donner une bonne éducation. La fillette était donc seule. Cela était une véritable aubaine. Kolya entama la conversation avec la jeune fille, Sylas commença à s'approcher d'elle d'un pas rapide mais apparemment, celui lui fit peur et elle recula. Elle se mit même à crier pour appeler sa chère mère et son cher père. Que cela était touchant. Sylas en avait presque envie de pleurer... de rire. Il trouvait ça d'un ridicule. C'est alors que Mégane alla se réfugier dans la salle de bain et prit bien soin de fermer la porte derrière elle. Le Génésien put également admirer le don qu'elle avait pour ouvrir les portes à distance. Le Genii avait déjà des envies de la vendre un très bon prix sur n'importe quelle planète.

Tandis que Sylas s'acharnait pour essayer d'ouvrir la porte de la dite salle de bain, Kolya s'amusait à saccager les quartiers des parents. Apparemment, cela lui faisait le plus grand plaisir. Ne prêtant plus attention aux actions du Commandant, il continua à bidouiller la porte et après quelques minutes, il y parvint. La fillette, en voyant la porte s'ouvrir, se mit à crier, ce qui agaça particulièrement le Génésien qui s'avança vers la sale môme et arriva à l’attraper. Mais du haut de ses 6 ans, elle avait tout de même de la force car elle se mit à gigoter dans tout les sens pour essayer de se défaire de l'étreinte du Génésien. Mais pour la calmer, il eut une idée, enfin... ça se saurait si Sylas avait des idées intelligentes. Il fonçait et après il réfléchissait. C'est alors qu'il sortit d'une main, une arme qu'il avait prit sur un des militaires qu'il avait tuer, tandis que de l'autre, il saisit Mégane à la gorge avant de la frapper au visage avec la crosse de son arme. Sylas n'avait aucune honte tout de même. La fillette tomba inanimée sur le sol, tandis que Kolya ne pu que admirer ce triste spectacle.

« Était-ce nécessaire ? (petit soupir)… Bon il n’y a plus qu’à atteindre la salle d’embarquement pour notre bouquet final… Espérons que dans le public il y est les parents. J’ai hâte de voir la tête d’ahuri de ce cher Sheppard… j’entends d’ici sa mélodieuse voix remplit de haine à mon égard. Donnez moi l’enfant et passé devant… on prétextera qu’on l’emmène à l’infirmerie.. Et lorsque cette excuse ne marchera plus on foncera dans le tas… »

"Vous auriez peut-être préféré que je la laisse crier pour qu'elle alerte toute la cité ?"

Sylas finit tout de même par ramasser la fillette avec très peu de délicatesse et la donna à Kolya. Il rangea son arme pour ne pas éveiller les soupçons mais la garda tout de même près de lui juste au cas où cela tournerai mal. Il prit les devants et les deux compères s’engouffrèrent dans les couloirs en direction de la salle d'embarquement.

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---> Infirmerie

John avait prit tout son temps pour revenir vers ses quartiers. Il n'avait pas envie de voir le désastre qui devait y régner car il doutait qu'ils aient fait ça calmement. Arrivé devant la porte, il eu un moment d'hésitation. Kolya et Sylas avaient osé pénétrer dans le petit nid douillet des Sheppard. Cela lui donnait presque envie d'emballer toutes leurs affaires et de déménager dans d'autres quartiers. Mais pour le moment, il allait avoir du ménage à faire. Le pilote finit par entrer. Cela fut moins désastreux qu'il ne le pensait. Jenny était peut-être passé faire un peu de rangement, histoire de se changer les idées avant qu'elle n'aille rendre visite à Sylas. Des morceaux de verre jonchaient encore le sol. Mais ce qui énerva le plus le militaire, c'est quand il vit son poster de Johnny Cash, à moitié arraché. Ça, c'était du Kolya tout craché, pas besoin de chercher bien loin. Son poster fétiche allait finir tout droit dans la poubelle.

Le militaire continua la rangement, ramassant tout ce qui lui tombait sous la main. C'est alors qu'il s'approcha de la salle de bain et qu'il vit une tache rouge sur le sol. Il n'y avait pas de doute, il s'agissait de sang séché. Il n'eut pas à chercher bien loin pour comprendre que c'était celui de sa fille. Dire qu'ils avaient osé lever la main sur elle, une enfant si jeune et si fragile. Cela le mit de nouveau hors de lui. Il lâcha tout ce qu'il avait dans les mains et alla se coller contre le mur le plus proche. Il se laissa glisser tout le long pour finir assis sur le col. Il ne pouvait que contempler la chambre qui était devant lui, qui fut le théâtre d'une journée riche en émotion et qu'il allait préférer oublier rapidement, même si cela allait être des plus compliqué. Dans sa tête, il se repassait tout ce qu'il avait vu dans ce bunker et tout ce que Kolya avait pu lui dire. Même mort, il lui pourrirait encore la vie. Quelques larmes finirent par quitter ces yeux. Il repassait également à sa petite fille qu'il ne pouvait même pas approcher. Il ne pouvait pas la prendre dans ses bras pour essayer de la réconforter, lui faire oublier cette maudite journée et tout ce qu'on lui avait fait subir. Si seulement Rodney pouvait découvrir une machine à remonter le temps, il sauterait rapidement dedans pour pouvoir être aux côtés de Mégane quand Kolya et Sylas avait débarqué dans sa vie. Il aurait été là pour elle, à l'instar de toute ces fois où il était obligé de faire son travail de bureau ou partir en mission. Le pilote se jura que quand Mégane irait mieux, il la ferait passer avant son travail. Se passant les mains sur son visage pour enlever le reste des larmes, il se ressaisit. Il avait encore du rangement à faire avant que Jenny ne revienne. Il finit par se relever et termina. Après une bonne heure encore, les quartiers furent comme neuf, comme si rien ne s'était passé un peu plus tôt dans la journée.

John avait eu le temps de tout ranger, comme si rien ne s'était jamais passé dans ses quartiers. Il fallait espérer qu'on leur donne bientôt un nouveau logement. Il n'avait pas revu Jenny depuis un petit moment. La nuit d'avant, elle avait préféré rester au chevet de leur fille. Le pilote avait été obligé d'attendre que sa femme lui donne des informations sur sa santé.

Le lendemain, le militaire avait reprit sa journée comme si de rien n'était. Il n'avait pas voulu retourner à l'infirmerie sans que la scientifique lui est dit. Mégane était très fragile et John n'était pas le bienvenue pour le moment. Il préférait attendre. Le soir venu, il se retourna dans ses quartiers. Durant la journée, la scientifique lui avait donné quelques nouvelles, mais de toute façon, la fillette n'allait pas aller mieux du jour au lendemain. Tout cela déplaisait fortement au père de famille que John était. Il ne pouvait pas prendre sa fille dans ses bras pour la réconforter, lui dire des mots reposants pour essayer de lui faire oublier tout ce qu'elle avait pu vivre. Mais pour ça, il devait attendre, lui laisser du temps. Fatigué par ses derniers jours, il alla se coucher sans même dîner. Juste avant, il avait tout de même prit une bonne douche bien chaude pour le décontracter et un brossage de dent avant de filer sous la couette.

John dormait désormais paisiblement. Il savait qu'il ne devait pas attendre sa scientifique de femme car elle allait peut-être encore rester avec leur fille. Elle avait bien raison. John n'aimait pas la savoir seule, dans cette infirmerie. Il fallait espérer que cela ne dure pas trop longtemps. Le pilote dormait du sommeil du juste quand il sentit le lit bouger. Au première abord, il crut que s'était dans son rêve mais il ouvrit un œil et vit que Jenny avait décidé de revenir dans le lit conjugal. John esquissa un léger sourire en coin avant de se retourner vers la Canadienne qui lui tournait le dos. S'approchant d'elle, il vint lui déposer de fins baisers dans le cou pour lui faire part de sa présence.

"J'espère que tu ne t'étais pas déjà endormie."

Oups, Jenny avait commencer à s'endormir. Tant pis. Il n'avait pas vu sa femme depuis plus d'un jour, il avait tout de même le droit de la réveiller pour lui dire bonsoir. Sa petite femme s'excusa de l'avoir réveillé. Que c'était mignon. Mais il n'y avait pas de quoi. John était content de voir la scientifique. Depuis son retour de mission et depuis qu'il avait quitter l'infirmerie, ils ne s'étaient parler que par radio sur l'état de santé de Mégane, ce qui déprimait encore plus le militaire. Mais alors que la jeune femme se relevait dans le lit, la Canadienne enchaina.

"Ta journée s'est bien passée ?"

Une question tellement bateau. Elle ne souhaitait peut-être pas parler du sujet qui fâche, juste au saut du lit.

"Bien comme d'habitude. Passer sa journée à lire des dossiers de recrues potentielles afin d'en faire une liste pour envoyer au SGC, est très passionnant. J'ai réussis à m'endormir moins de trois fois alors que je pourrais être ailleurs, auprès des gens que j'aime. Mais bon, il faut voir le bon côté des choses... enfin s'il y en a un de faire de la paperasserie.

"J'ai été cherché mon portable aux laboratoires tout à l'heure pour travailler dans sa chambre. Elle a eut son premier rendez vous avec la psychologue et ça s'est plus ou moins bien passé... Par la suite elle a colorié son cahier et elle n'a pas tardé à s'endormir..Je suis donc revenue.. (petite moue).. j'avais besoin de toi.."

Alors qu'il allait lui répondre, la jeune femme vint se coller à lui en lui déposant un fin baiser. Cela lui faisait le plus grand bien de sentir la présence de sa femme près de lui. Il en avait besoin mais elle avait raison de rester aux côtés de Mégane. Elle en avait plus besoin. John pouvait attendre. Mais apparemment, John n'était pas le seul à être en manque. Le pilote resserra son étreinte sur la scientifique pour lui montrer qu'elle était là pour elle. Il devait se montrer fort pour elle. La Canadienne était obligée de se montrer forte pour sa fille. Il lui fallait bien une épaule pour qu'elle puisse se reposer.

"J'espère que ça lui fait tout de même du bien de s'ouvrir à quelqu'un. J'aurai plutôt préféré qu'elle s'ouvre à nous. J'ai vraiment envie qu'elle redevienne notre petite fille adorée comme avant. Elle t'a dit des choses à toi ?"

John aimerait surtout savoir ce que le Genii avait bien pu lui dire sur son compte, dans le moindre détail. Au moins, il pourrait comprendre pourquoi sa propre fille le rejette de cette manière. Kolya lui avait plus où moins dit, mais cela ne lui suffisait pas.

Citation :

"J'espère que ça lui fait tout de même du bien de s'ouvrir à quelqu'un. J'aurai plutôt préféré qu'elle s'ouvre à nous. J'ai vraiment envie qu'elle redevienne notre petite fille adorée comme avant. Elle t'a dit des choses à toi ?"

Les mission sur le terrain allaient devoir attendre un peu. John préférait rester près de sa fille pour le moment, même s'il ne pouvait pas l'approcher. Il pouvait se passer plein de choses pendant qu'il serait sur le terrain. Si elle venait à le réclamer, il fallait qu'il soit là pour cela. C'est alors que la scientifique enchaîna sur l'entretien que leur fille avait eu avec la psychologue. Apparemment, ce ne fut pas de tout repos pour elle. Le pilote esquissa un léger sourire quand Jenny lui lança que leur fille lui ressemblait quand il s'agissait de montrer ses sentiments. Pas de chance qu'elle est hérité de ce défaut là. A peine eut-elle terminer sa phrase que la jeune femme vint s'installer sur le militaire, tout en l'embrassant et en lui faisant de tendres caresses. Cela faisait bien longtemps qu'ils ne s'étaient pas amusés à faire ce genre de choses. John n'allait pas s'en plaindre. Au moins, cela lui faisait penser à autre chose en ces temps difficiles, même si cela n'allait pas durer.

"Elle ne m'a rien dit concernant.. ce que tu sais... Mais je pense que demain tu devrais lui rendre visite.. même si dans les premiers temps, elle ne veut de ta présence.... Je pense qu'au fond cela lui fait du bien... elle sent ta présence et c'est parfois mieux que des mots.. Il lui faudra du temps.. et tu sais.. moi aussi j'aimerais bien qu'elle redevienne comme avant... mais seul le temps nous le dira... Une étape à la fois"

Dommage qu'elle ne lui ai rien dit. Mais de toute façon, il ne comptait pas la dessus avant un bon moment. Peut-être qu'elle finirait par le dire à sa la psychologue mais elle n'irait pas lui répéter. Le secret médical passait avant tout.

« Oui tu as peut-être raison . J'irais la voir. J'espère juste qu'elle ne me repousse pas encore une fois. Je ne le supporte pas. La savoir juste à côté et rien pouvoir faire, ça me rend malade. J'ai été la chercher, je l'ai ramené et maintenant, je ne peux même pas la réconforter. Je sais que cela prendre du temps, mais tu connais ma patience légendaire... »

"Quand je te disais lors de nos vacances sur terre qu'il serait peut être bien de la laisser à ma mère ou chez ton frère de façon ponctuelle puis régulière... je ne disais pas ça dans le vent. Je le pense. Cela lui ferait du bien d'être sur sa planète natale et vivre une vie normale... Je sais que tu avais été contre.. mais réfléchis.. Quand toute cette histoire sera passé, ça pourrait être bien.. Et puis Rodney à mit au point un système de communication audio/video... on pourrait avoir des nouvelles d'elle..."

« C'est vrai que cela pourrait être une solution, le temps qu'elle aille mieux. Mais si ta mère invite encore des hommes tous les soirs chez elle et que ça me remonte aux oreilles, je vais moi même la chercher et je la ramène. Elle pourrait retrouver son petit copain et jouer avec comme une enfant normale. Après il faudra voir avec elle. Je n'ai pas envie de l'envoyer là bas si elle ne le veux pas. Ça sera son choix et pas le notre.»

John n'avait pas envie de la forcer. Mais c'est vrai qu'elle pourrait retrouver une vie normale. Cela serait vraiment bien pour elle. Le pilote n'était vraiment pas pour mais s'il avait dit oui quand Jenny avait émis cette idée, peut-être que tout cela ne sera surement jamais arrivé. Chez sa grand mère ou son oncle, elle serait en sécurité. Pas de gros méchants de l'espace qui chercherait à l'enlever. Elle serait une petite fille parmi tant d'autres.

Jenny essaya de faire de son mieux pour essayer de réconforter le militaire. Elle s'amusa à passer son doigt sur le torse du militaire comme si elle voulait dessiner. Cela lui procura de légers frissons. Tandis qu'elle continuait ces douces attentions, la jeune femme lui proposa de venir déjà avec ses deux femmes demain midi. C'était une expérience à tenter. Il fallait juste espérer qu'il ne se fasse pas repousser une énième fois. Mais il fallait qu'il reste positif. Si Mégane le sentait tendu, elle ne s'ouvrirait pas à lui et continuerait de le repousser. Ça, il ne le souhaitait pas et il ferait tout pour que cela n'arrive pas.

"Tu as peut-être raison. Je viendrais. Je lui apporterais de quoi s'occuper pendant ses journées. A moins que tu l'ai déjà fait."

C'est alors que le sujet de confier la garde à belle maman. Ah cette brave Kate, bien gentille mais ramenant trop d'hommes chez elle. Certes, John n'avait rien à dire pour ce genre de chose. Il avait assez ramener de filles à l'adolescente. Belle maman avait juste une libido trop débordante mais bon, on allait pas la changer à son âge.

"Hey.. on a bien vu, du moins.. je l'ai remarqué.. Ce que ma mère disait est vrai... elle fait d'abord passé Mégane.. elle s'amuse après... quand elle dort.. Oui.. imagine belle maman faire des galipettes.. Elle est encore bien conservée pour son âge. Et puis ton frère je ne le connais pas, et vos ententes n'étaient pas si cordiale que ça avant la mort de ton père... donc.. nous sommes à égalité... mais on se rejoint sur un point elle serait plus en sécurité."

"J'espère bien qu'elle fasse passer Mégane en premier. Et non je ne préfère pas imaginer ta mère en train de faire des galipettes. J'ai diner ce soir et j'aimerai le garder dans mon estomac..."

John avait déjà vu sa mère sortir avec son jardinier, cela lui suffisait. Il n'avait pas envie de faire d'avantage de cauchemars. il avait sa dose depuis qu'il était arrivé sur la cité il y a déjà quelques années.

"Et je ne pense pas que Dave soit vraiment apte à s'occuper d'une enfant surtout, une comme Mégane. Tu veux qu'il fasse une attaque cardiaque à la première occasion. Elle va lui ruiner sa maison. Je veux bien que notre relation s'améliore peu à peu mais ce n'est pas une raison. Chez ta mère, elle sera peut-être mieux et surement plus tranquille."

A peine eut-il finit de lui répondre que la jeune femme commença à s'endormir. Le pilote passa son bras derrière elle afin de la ramener près de lui et pouvoir la câliner tandis qu'elle partait dans les bras de Morphée. Il la regarda dormir quelques temps avant de lui même sombrer au pays des rêves.