Shadow on the life

Le militaire ne quitta pas le couteau des yeux. Il avait l'habitude avec tous ces psychopathe qui lui courrait après. Puis, tout en explicitant sa menace, il réïtéra son geste en appuyant de nouveau sur la blessure, ce qui lui provoqua une douleur assez vive.

**Je vais vraiment le tuer.**

"Nous n'avons pas de planète mère. Nous voyageons de planète en planète. On envoie toujours un contingent pour voir s'il n'y a pas de danger sur la planète suivante. Mais là, on est bien mal tombés."

**WOW, quel joli mensonge mon cher John, même moi j'aurais pas fait mieux.
Je fais ce que je peux.**

"Nous n'avons pas de planète mère. Nous voyageons de planète en planète. On envoie toujours un contingent pour voir s'il n'y a pas de danger sur la planète suivante. Mais là, on est bien mal tombés."

Talan roula des yeux en soupirant d'un air blasé.

"Mais bien sûr ! Et les Wraiths embalent le chocolat dans l'papier d'alu ... Ca vous pouvez le dire que vous êtes mal tombés, vous avez pas idée. Je vais parler à la femelle, elle m'a l'air d'avoir la langue bien pendue ... Je prendrais même plaisir à la lui couper, d'ailleurs à ce sujet ... C'est très très très très très mal insonorisé ici, vous risquez de tout entendre."

Sur ce, il recula de quelques pas.

"Là vous aller me dire de ne pas lui faire de mal, que vous allez me casser la gueule et blablabla et blablabla mais, vous avez l'habitude d'être torturé à en voir vos blessures et votre regard. D'ailleurs, il me fait froid dans le dos. Brrrrr" dit-il en faisant semblant de trembler. "Si vos yeux lançaient des éclairs, je me serais transformé en passoire."

Cette replique eut le don de faire éclater de rire ses deux hommes.

"Vos gueules bande d'ivrognes. On est dans une salle d'interrogatoire pas dans un cirque, si je veux vous entendre rire, j'agiterais la pancarte et si je veux vous voir remuer la queue, j'agiterais un os." dit-il à l'adresse des deux autres qui se turent aussitôt.

"Donc je disais que comme vous avez l'air de ne pas céder facilement aux menaces, nous allons passer la phase "j't'emmerde, moi aussi" pour discuter entre deux adultes responsables. D'où venez-vous ? Et n'essayez pas de me mentir cette fois ou mes hommes se délecteront de la chair fraîche qui repose dans la salle d'à-côté. Je suis sûr que vous ne voulez pas qu'il lui arrive quelque chose."

John n'écouta que d'une oreille les dires de Talan, vu qu'il en avait assez de tout ça et surtout, il était à bout de force. Heureusement qu'il avait les chaines pour le retenir sinon, il allait finir sur le sol.

"Je vous l'ai... déjà dit...mais vous ne voulez pas me croire.... Je n'y peux rien... Vous êtes vraiment abruti... et... bouché comme... je ne sais pas quoi."

Talan décida de lui foutre la paix et prit un verre d'alcool que lui amenait une jeune femme sur un plateau d'argent.

"Merci, chérie." dit-il en lui faisant un clin d'oeil.

La jeune femme qui était liée par les pieds eut un air de dégoût.

"Hmmm ... Ca fait longtemps quelle pourrie ici, elle. Il faudrait que je pense à changer d'esclave... La votre m'a l'air divertissante."

"Je vous l'ai... déjà dit...mais vous ne voulez pas me croire.... Je n'y peux rien... Vous êtes vraiment abruti... et... bouché comme... je ne sais pas quoi."

Talan serra le verre dans sa main aussi fort qu'il le pouvait à un tel point que celui-ci se brisa dans sa main.

"C'est surtout que vous me prenez pour un con, oui !" dit-il en tappant du poing.

"Hey, grognasse, ramènes-moi un autre verre." demanda t-il à l'adresse de la jeune femme qui s'empressa de quitter la pièce.

"Il lui faut peut-être une escorte, patron."

"J'ai pas agité d'os et tu remues quand même la queue. Au fait, Lian... Je ne t'avais pas demandé de t'occuper de sa copine ?"

"Si mais, Ranan m'a envoyé sur les roses ... Les partouses c'est pas son truc selon lui."

La jeune femme revint avec son verre d'alcool sur le plateau d'argent et il s'énerva.

"Tu te fout de moi là ! Il est pas assez rempli !"

Il jeta un coup d'oeil à Sheppard.

"Vous voulez voir ce que je lui réserve à votre copine ?"

La jeune femme fit une mine avec des yeux aussi ronds que des culs de bouteilles.

"Oh non, non, non, non, non. Je ferais ce que vous voulez mais..."

Trop tard, sa tête fut fracassée sur la table alors qu'elle tombait à terre et que Talan lui envoyait des coups de pieds en pleine figure puis, s'arrêta et vida son verre d'une traite, rotant par la même occasion.

"Lian, Wayne, enlevez-moi cette chose de là et faites mumuse avec si ça vous fait plaisir."

Excités comme des puceaux, les deux hommes s'exécutèrent et ramassèrent la jeune femme au visage ensanglanté, trop faible pour protester puis, ils ouvrirent la porte d'à côté et la jetèrent sans ménagement à l'intérieur. Il n'y avait pas de mur qui séparait les deux pièces adjacentes, juste une immense vitre teintée alors qu'ils commençaient à faire leur affaire.

"Vous avez tués mes hommes avec vos armes. Dîtes-moi votre nom et d'où vous venez ou c'est votre amie que je mets dans cette pièce..."

Elle le regarda misérablement, un vrai déchet, de toute facon elle ne savait pas savoir son prénom, pour elle ce n'était qu'un connard de première.

"C'est ta tenue de combat, chérie ? Difficile de rivaliser avec ça ! C'est un tue l'amour, tu ressembles à une truie là-dedans ! Enfin, comme je te l'ai dit, je n'ai pas bais*r depuis un moment, alors je ne vais pas faire le difficile." dit-il en tirant de toutes ses forces sur son pantalon qui se déchira et en fit autant avec son sous-vêtement.

Lorsqu'il fit ceci, son sang ne fit qu'un tour, sachant très bien ce qui allait arriver après s'il continuait... et cela ne tarda pas, en qq seconde elle se retrouva nu des pieds jusqu'au bas ventre. Elle devint alors tout pale , se mordant sa lèvre inférieure, avant de sentir une peur l'envahir mais également une honte et une géne énorme, instinctivement elle croisa ses jambes. Regardant son tortionaire avec des yeux qui commencait à briller.

"J'espère que tu as prévu une tenue de rechange, sinon bonjour la honte. Enfin, je crois que... hmmm... John a déjà vu tout ça mais, les autres narcoleptiques c'est moins sûr."

"Qu'...qu'est-ce-que vous en savez ? espéce de ... crétin.. régit par ce ... ce que je pense. Vous n'avez vraiment aucun coeur et ... aucun neuronne" fit-elle avec un ton où l'on pouvait sentir sa peur naissante.

"Et je vous interdis de prononcer son nom !! (ton sec suivit d'un blanc en le regardant avec pitier) S'il vous plait... non... non" fit-elle dont les yeux étaient brouillés par un nuage brillant qui allait laisser deverser sur ses joues la pluie de ses larmes. Cependant elle se retint, essayant de rester forte bien que la situation dans laquelle elle se trouvait n'aidait vraiment... mais vraiment pas.

En cellule.

"Qu'...qu'est-ce-que vous en savez ? espéce de ... crétin.. régit par ce ... ce que je pense. Vous n'avez vraiment aucun coeur et ... aucun neurone."

"Oh chérie, j'ai bien vu les regards énamourés qu'il te lançait. Même si je ne connais rien à ce sentiment, je sais très bien reconnaître des tourtereaux lorsque j'en vois... Je ne suis pas né de la dernière pluie même si ma mère te ressemblait ... Elle montrait son c*l pour gagner sa vie, elle aussi."

"Et je vous interdis de prononcer son nom !! S'il vous plait... non... non"

"Oh !" s'exclama t-il en imitant le ton d'une femme épleurée. "John, John, John, John, John... Je sais bien simuler l'orgasme aussi mais, je n'irais pas jusque là, le patron va s'imaginer des choses."

Quand elle le supplia, il eut un rictus mauvais.

"Tu as tué mes frères d'armes, tu m'as insulté, tu crois que je fais t'épargner ? Vous, les femelles, vous êtes toutes les mêmes. C'est entièrement ta faute si tu es là, nue... C'est toi qui m'a chauffé. Cette situation, tu t'y est fourrée toute seule et tais-toi ou je te fourre autre chose."

Puis, dans la pièce d'à-côté, il y eut un bruit de bris de verre et des éclats de voix après quoi un autre grand bruit.

"Je me demande quelle jolie tête il a éclaté sur la table... Bon, assez rigolé maintenant."

Spoiler:

"Oh chérie, "

"M'appelle pas comme ça" fit-elle d'une petite voix

"j'ai bien vu les regards énamourés qu'il te lançait. Même si je ne connais rien à ce sentiment, je sais très bien reconnaître des tourtereaux lorsque j'en vois... Je ne suis pas né de la dernière pluie même si ma mère te ressemblait ... Elle montrait son c*l pour gagner sa vie, elle aussi..... "Oh !" s'exclama t-il en imitant le ton d'une femme épleurée. "John, John, John, John, John... Je sais bien simuler l'orgasme aussi mais, je n'irais pas jusque là, le patron va s'imaginer des choses."

Elle ne répondit rien à ses humiliations. Elle en était incaple, combien de fois avait-elle put répondre à ses agresseur au point de s'en prendre et des bonnes, mais là elle ne jouait plus, elle avait honte. Honte d'être attachée, honte d'etre là à sa mercie, bien que ce n'était pas sa faute, honte d'être là, à porter de tout et à moitier nue qui puis est.

"Tu as tué mes frères d'armes, tu m'as insulté, tu crois que je fais t'épargner ? Vous, les femelles, vous êtes toutes les mêmes. C'est entièrement ta faute si tu es là, nue... C'est toi qui m'a chauffé. Cette situation, tu t'y est fourrée toute seule et tais-toi ou je te fourre autre chose."

Jenny baissa les yeux et déglutit, une boule se formant dans sa gorge, c'est là qu'elle entendit des bruti dans l'autre pièce elle releva doucement sa tete vers le bruit avant de sentir une pointe de rage l'envahir.

"Votre chef... a interet à faire attention à lui"

"Je me demande quelle jolie tête il a éclaté sur la table... Bon, assez rigolé maintenant."

Spoiler:

Toujours dans les cellules.

"Je t'appelle comme ça si je veux, tu n'avais qu'à me donner ton nom quand je te l'avais demandé alors va te faire foutre ... Tiens, c'est ça ton prénom, je crois ? Très joli, soit dit en passant."

"Votre chef a intérêt à faire attention à lui."

"Désolé mais, c'est pas par bonté d'âme que John est dans cette pièce, on fait pas dans la dentelle contrairement à ta p'tite culotte alors économise ta salive."

Puis, il continua sa torture en allant plus vite, plus loin et plus violemment, lui jetant des regards de temps à autre, appréciant la vue et sa lèvre en sang. Il n'en avait strictement rien à faire d'elle, tout ce qu'il voulait c'était l'entendre le supplier d'arrêter ce qu'elle fit au bout de trois minutes et quinze secondes.

"Bravo, tu es celle qui a tenu le plus longtemps avant de me supplier d'arrêter. Tu crois être en mesure d'exiger quoi que ce soit ? Tu as de la chance, je ne suis pas d'humeur à continuer aujourd'hui et figures-toi que contrairement à mes collègues je sais très bien contenir mes pulsions sinon j'aurais ... comment tu dis déjà ? Ah oui, régie avec ma queue. Je vais laver mes mains, je me sens presque aussi sale que toi. De toutes manières, tu es attachée tu n'iras pas bien loin." dit-il en s'éloignant.

Il revint au bout de quinze minutes.

"J'espère que tu as apprécié ce répit et que tu as eu le temps de réfléchir à tout ce qui vient de se produire. Espérons que John a été bavard, sinon je serais obligé de recommencer à moins que Lian se propose ... Il adore torturer les jeunes demoiselles, il faut dire aussi qu'il aime finir mes restes." dit-il en lui donnant un coup-de-pied.

PAS LOIN DES CELLULES

"C'est surtout que vous me prenez pour un con, oui !"

"C'est pas faux."

Puis, pour montrer sa force et son pouvoir, il prit la pauvre esclave en exemple et lui fracassa la tête contre la table. Il avait vraiment mal pour elle. En plus, il l'était en train de la finir a coups de pied. Puis, on l'emmena un peu plus loin.

Puis, quelques instants, se fit entendre un : "NOOOOOOOONNNNNN" qui lui glaca le sang. Il avait reconnu la voix de Jenny. Mais, il préféra de laisser rien paraitre à la vue de Talan.

"Vous avez tués mes hommes avec vos armes. Dîtes-moi votre nom et d'où vous venez ou c'est votre amie que je mets dans cette pièce..."

"C'était de la légitime défense. C'est eux... qui.... nous ont attaqués... les premiers.... On a fait que... se défendre."

"C'était de la légitime défense. C'est eux... qui.... nous ont attaqués... les premiers.... On a fait que... se défendre."

"C'est pas faux." dit-il en empruntant ses mots avant de lui flanquer deux uppercut au menton.

"Désolé quand je bois, je ne sens plus ma force."

Puis, il regarda la lame de son couteau comme pour s'assurer qu'elle soit bien aiguisée.

"J'espère qu'il y a de bons médecins chez vous." dit-il en lui entaillant le bras profondemment, l'ouvrant légèrement au niveau de ses veines.

"A cette allure là, d'ici deux heures vous serez entièrement vidé de votre sang et je pourrais m'amuser avec votre femelle. Il faudrait peut-être passer aux avoeux parce que je crois que Ranan a fait des bêtises... Ca m'étonnerais qu'elle soit encore vierge mais, bon ..."

Lorsqu'il arréta, elle remercia le ciel silencieusement, puis il la laissa seul durant près d'un quart d'heure dans cette position singulière, à moitié nue. Toute les defenses de Jenny était a present à plat, elle avait pleuré encore durant un petit moment, s'appitoyant sur son sort, puis les larmes se tarirent. A quoi cela servait, ce n'était pas la premiere a qui ça arrivait et ce ne serai pas la dernière et encore dans son malheur elle avait eu de la chance que cela ne soit pas fait avec le membre de son assaillant; bien qu'à la rigueur ça aurait peut-être était mieux car ce qu'il avait fait ac ses doigts, maintenant cela l'irritait... enfin dans son fd interieur, elle savait que qq1 viendrait les secourir, ca faisait tout de meme plus de deux heures.

"Vous pourriez me détacher maintenant... que je sauve le peu d'honneur qu'il me reste... vous pouvez bien ça" fit-elle d'un ton las mais elle parlait plus avec ses yeux qu'autre chose, des yeux rougis par les larmes.

Lorsque Talan lui envoya deux beau uppercut en pleine face, il fit un effort herculéen pour rester conscient car son état était de plus en plus grave. mais son calvaire ne s'arrêta pas là. Cet abrutit de chef eut la bonne idée de faire mumuse avec son couteau et ainsi lui entailler les veines de son poignet gauche. Le militaire ne pu pas retenir un gémissement de douleur. Rien que de sentir le liquide chaud et poiseux, couler sur son bras, lui donnait envie de tourner de l'oeil. Puis quand l'autre couillon lui annonca que dans deux heures il serait mort, John lui envoya un regard noir. Mais ce regard s'emplifia de haine envers le chef quand il lui parla de Jenny et se qu'il lui avait fait certainement subir.

"Vous... savez quoi ?...Vous pouvez... me faire tout ce... que vous voulez... en fin de compte... Mais... vous... n'aurez rien... du tout...

Puis, il commença à papilloner des yeux avant de perdre totalement connaissance.

Du côté de Talan :

"Vous... savez quoi ?...Vous pouvez... me faire tout ce... que vous voulez... en fin de compte... Mais... vous... n'aurez rien... du tout..."

Il eut un rictus mais, le perdit instantanément quand il le vit pioncer.

"Hey ! Put*in mais, ils sont tous narcoleptiques ou quoi ? J'avais pas fini de m'amuser !"

Il se tourna pour voir le spectacle désolant avec l'esclave.

"LIAN ! Ramènes tes fesses ici et par pitié remontes-moi ce pantalon."

Il attendit que sa hyène soit de retour et lui montra plusieurs seaux d'eau.

"J'avais prévu de l'électrocuter mais, il menace de nous claquer entre les doigts. Réveilles-le et tous les coups sont permis, je vais voir ma future esclave."

Sur ce, il quitta la pièce pour se rendre dans celle d'à-côté.

Cellules :

"Vous pourriez me détacher maintenant... que je sauve le peu d'honneur qu'il me reste... vous pouvez bien ça"

"Okay mais, faites le moindre geste et c'est la mort assurée." dit-il en pointant son propre 9mm contre elle, tout en la détachant.

C'est à ce moment là qu'il entendit la porte s'ouvrir et que Talan apparut à l'embrasure de cette porte, ce qui renforça sa carrure imposante.

"Ranan, What's the hell are you doing ?"

"Je fais mumuse..."

"C'est pas le moment de faire la causette, gueule d'ange va nous claquer entre les doigts. Va rejoindre Lian et essaye de le réveiller, c'est à mon tour de faire mumuse."

Ranan acquiesça avant de sortir puis, Talan croisa les bras sur sa poitrine avant de s'adosser au mur.

"Je pari qu'il vous a fait le truc avec les doigts. C'est sa spécialité, en même temps, c'est pas de sa faute s'il est impuissant. Je l'ai choisi comme ça je n'ai pas de soucis avec une paternité éventuelle, ça évite qu'ils posent leur congés quand j'ai besoin d'eux. Bon, je suis sûr que vous voulez voir votre ami mais, vous n'êtes vraiment pas présentable et lui, bah il a rien trouvé de mieux que finir sa nuit. Vu que je lui ai ouvert les veines je lui donne 2 heures grand maximum alors dîtes-moi ce que je veux savoir ou je vous fait violer sous ses yeux."

Lorsqu'il la relacha, elle remit en triple vitesse son sous vêtement, de toute facon elle ne tenterais rien elle en avait eut pour son compte et le sentait encore. Soudain un autre arriva, un vrai monstre musclé à souhait. Elle blémit avant de réprimer un sanglot qui arrivait, qu'est-ce-qu'il lui voulait lui ? tout de suite une pensée vint mais elle l'efface de sa mémoire. Tremblante elle remonta son pantalon qui ne tenait plus qu'a moitier et qui était déchirer le long de sa cuisse. Avant de regarder avec des yeux brillant talan s'appuyer contre le mur... Jenny elle se recula de peur de...de... de tout.

"Je paris qu'il vous a fait le truc avec les doigts. C'est sa spécialité, en même temps, c'est pas de sa faute s'il est impuissant. Je l'ai choisi comme ça je n'ai pas de soucis avec une paternité éventuelle, ça évite qu'ils posent leur congés quand j'ai besoin d'eux. Bon, je suis sûr que vous voulez voir votre ami mais, vous n'êtes vraiment pas présentable et lui, bah il a rien trouvé de mieux que finir sa nuit. Vu que je lui ai ouvert les veines je lui donne 2 heures grand maximum alors dîtes-moi ce que je veux savoir ou je vous fait violer sous ses yeux."

"Qu..quoi..." réussit-elle à dire lorsqu'il lui dit que John avait les veines ouvertes et que si on ne lui portait pas secours il mourrait. Mais surtout elle ne voulait pas subir une seconde fois cette humiliation, ses défense ne tiendrait plus et elle sombrerait certainement dans une profonde dépression, déjà que là mentalement, elle était perdu... mais il fallait qu'elle se montre forte, elle craquerait plus tard.

"Non... je... je vais parler mais si vous me promettez qu'il reviendra en cellule par la suite pour que je puisse essayer de ... de le soigner."

Elle déglutit en grimacant car sa gorge était tellement serré par des sanglots étouffés que ça devenait un supplice d'avaler sa salive.

"Nous.. nous sommes des atlantes et...et nous venons d'une cité où il y a plus ou moins de matériel comme nos armes.. nous sommes une colonie si vous voulez... Voilà vous savez tout... maintenant par pitier, rendez le moi, s'il vous plait" fit-elle en sentant des gouttes salés coulé de nouveau sur ses joues.