Réglement de compte !

Balcons

Il était maintenant presque trois heures de l'après midi et la jeune femme vagabondé à droite et à gauche à travers la cité. Bien sûr de qq personnes la regardaient sur son passage, mais Jenny n'y faisait pas attention, de plus avec sa tenue plus que sobre, elle était assez discréte. Mais ayant une bonne ouie, elle put entendre les ragots qui se propageaient à une vitesse folle. A vrai dire Jenny ne pensait pas que ça se serait répandut aussi vite, mais en meme temps avec la tonne de paperasse qu'elle avait mise partout.. Bien sûr, elle savait qu'elle aurait des problémes plus tard, mais pour le moment, elle s'en contre balancé. Malheureusement vers le fin de sa promenade, elle vit un homme vêtu d'une chemise noir, avec pantalon qui va avec et grosse bottine. Mais rien qu'à la houpette, elle sût que c'était John..

"Oh l'agneau est sortit de la bergerie on dirait" fit-elle plus pour elle même que pour lui qui était à même pas 10 mètres. Mais n'ayant pas envie de le croisé, sans quoi, elle ne sait pas comment elle réagirait, elle bifurqua pour prendre le couloir de gauche et ainsi espérait l'évité.. mais quelques choses lui disait que ce ne serait pas vraiment possible.

Jenny regarda une fois en arrière et ne vit personne la suivre, alors qu'elle était à un sorte d'intersection avec plusieurs chemins, elle décida d'aller vers celui de gauche pour rejoindre les quartiers. Elle regarda une derniére fois en arrière tout en souriant, elle avait réussit à le semer. Mais sa joie fut de courte durée, lorsqu'elle sentit quelqu'un la saisir par son bras et la tiré dans un couloir qu'elle ne voulait pas suivre et reconnut John.

"Je crois qu'il faut qu'on est une discussion tous les deux."

"Really ?"

Mais comme réponse, le militaire tira un peu plus et fut donc obligé de le suivre, bien qu'elle se débattait un peu. Une fois dans ce couloirs qq peu sombre et desert, la jeune femme poussa un soupir exaspéré, cependant, elle ne leva pas une seule fois les yeux vers ce dernier. Non pas parce qu'elle se sentait fautive, non, simplement parce qu'elle n'y arrivait plus, c'était au dessus de ses forces.

"Si tu voulais un coin sombre, fallait allez en ZI"

"J'espère que tu t'es bien amuser ma chère !!!!"

En voyant la photos s'agiter sous ses yeux, elle eut un fin sourire et se retint de rire, c'était pas le moment, surtout qu'il semblait bien en colére... great, au moins, elle avait eu l'effet escompter. Jenny décida de jouer les pestes. Elle se racla la gorge et prit le bout de papier, l'analysant un long instant avant de pousser un "hm" avant de passer le regard de john à la photo.

"C'est vrai qu'il y a un air de ressemblance... par contre pour la phrase, j'ai du mal à savoir pourquoi c'est écrit de la sorte... oh je sais la fille qui a fait ça à certainement du regarder un peu trop de Grey Anatomie, c'est tiré de là... tu connais peut etre ?"

Elle eut un léger rire de quelques secondes avec un regard flamboyant, où l'on pouvait lire une certaine haine qui ne faisait que s'accumuler. Jamais John n'avait eut le droit à un regard comme celui ci, mais il avait blésser son âme, alors ce n'était que pure justice. Mais elle a arrêta bien vite, prenant des traits durs et froids. Et d'un geste vif, alors qu'il ne s'y attendait pas, elle retira son bras de son etreinte.

"Déjà, je t'interdis de me toucher et de deux, ce n'est que ta récolte ce papier.. alors assume ce que t'as planté"

Sur ce elle tenta de faire quelque pas pour partir... au fond d'elle, elle ne voulait pas l'affronter, c'était trop dur psychologiquement, une fois avait amplement suffit.

"Oh je suis flattée.. t'as raison, je suis peut etre cinglé, mais au moins je ne suis pas infidéle"

Vlan, c'était trop tentant, surtout que Jenny était un femme de nature rancuniére.

"Tu me l'a assez rappeler que j'avais merdé sur un point mais ce n'est pas la peine que toute la cité le sache. A pour ça, tu dois être fière de toi. Maintenant toouuut le monde le sait, ça y'a pas de problème. Mais n'espère pas t'en tirer comme ça."

A cette réplique, elle arqua un sourcil d'un air de dire "yeah, of course that i'm proud of me" avec l'air de gentille salope qui va avec ^^.

"Si c'était nécessaire, du moins pour moi... J'en avais besoin pour ma santé mentale... Si tu comptais t'en tirer sans dommage, non.. je voulais que tu te paye la grosse honte et que tu te sente indigné comme je l'ai été... et j'ai rien trouvé mieux... i'm not sorry. M'en tirer ? Ah ! you kidding me right ? pour ta gouverne à l'heure qu'il est j'ai déjà atteint le point de non retour. T'as meurtrie mon âme et tu crois que ça se répare ainsi ? i don't think so.. alors fait ce que tu veux, je crois que ça ne fera qu'emplie ma haine.. merci de la nourir d'avance.. crétin"

S'en été trop, elle était en train de sortir hors d'elle et surtout, le fait d'être en sa personne l'a forcé à parler de son mal-être et ça elle ne le voulait pas. Mais ce dernier la saisit par son bras.. et assez fermement cette fois. Son regard noir de colére cette fois ci attisa ses jolies yeux noisettes, mélanger entre passion et fureur, elle resta là un moment sans bouger, tel un fauve qui allait bientôt attaqué. Tellement qu'intérieurement une tornade se déchainer, elle avait de fin soubre saut... mais si elle n'agissait pas ça allez terminer en ulcére.

"Lache.. moi" fit-elle d'une voix ô combien calme et peu rassurante vu la situation.

**Jenny calme toi, ça sert à rien, ne suit pas cette pulsion, ne le fait pas
- ....
- nooonnnnn**

Mais trop tard vu que ce dernier ne voulait rien y entendre, elle... laissa sa pulsion sortir. Jenny posa sa main sur celle du militaire avant d'enchainer par un geste rapide et concit. La scientifique retourna son bras derrière lui, l'imobilisant sur place du moins pour le moment. Puis dans le feu de l'action, elle sortit son couteau et le placa sous sa gorge.

"Je t'épargnes ton bide, il en a déjà eu assez.. par contre ton cou"

Resérre son étreinte... La colére pousse parfois les gens désespéraient à commettre des gestes abérants et incompréhensible, surtout lorsque la personne d'en face ne comprend pas ses actes et qu'il est incapable de comprendre la douleur de l'autre. Cependant est-ce-vraiment de leur faute ? Il ne font qu'appliquer leur désir les plus profonds et parfois inconscient. Dans le cas c'était un peu ce que Jenny faisait, elle avait l'impression que c'était une autre personne qui dictait ses actes et qu'elle n'était que spéctatrice... Au bout d'un moment de silence, la scientifique commença à se rendre compte de ce qu'elle était en train de faire, et desérra instinctivement son étreinte légérement. Elle était comme perdu à ce moment précis et ne savait plus vraiment quoi faire. Comment pouvait-elle oser faire ça ? Peut etre pour continuer en croire en son masque qu'elle essayait de garder en toutes circonstance pour éviter le vrai probléme qu'il y avait...

En effet Jenny n'aurait pas peut etre pas dût déserrer son etreinte, mais d'un autre côté même si elle le haïssait elle ne le detestait pas au point de le tuer. C'était tout de même le père de sa fille et puis Teyla lui avait toujours dit de contrôler ses pulsions pour ne pas regretter ses actes par la suite.Mais le revirement de situation fut assez brusque. John en légitime défense donna un coup violent dans son ventre , ce qui lui fit échapper un cri éttoufé dut au souffle coupé. Elle lacha le couteau pour porter ces deux mains à son abdomen pour tenter de reprendre sa respiration. Cependant par la technique du militaire elle se retrouva imobilisé contre le mur. Jenny aurait pu essayer de lui mettre des coup de pied en arrière poru tenter de se libérer, mais elle préféra garder ses forces pour le moment. Et puis elle devait faire affaire à la douleur qui lui parcourait le bras à cette instant précis. Elle poussa un léger grognement de rage.

"Tu as vraiment un problème dans ta tête. Va voir un psy, mais fait quelque chose car franchement, tu es en train de disjoncté. Tu vas te faire du mal à la force."

"C'est trop aimable que tu t'inquiètes pour moi mon coco"

Par la suite elle rassembla ses forces et se mit à se débattre. En vain. Tout ce qu'elle gagna fut un craquement limite sinistre, au niveau de son épaule... ce qui la calma instantanément en poussant un "aie". Face au mur, elle dut se calmer et ferma les yeux pour ne les rouvrir qu'une bonne minute plus tard, pour laisser apparaitre des yeux brillant d'un fin voile.

"Je.. suis désolée pour... pour l'attaque" fut ses seuls mots.

John tenait toujours fortement la jeune femme même quand cette dernière essaya de bouger pour tenter de se libérer de son étreinte. Peine perdu, elle hérita juste d'un craquement d'épaule.

"Je.. suis désolée pour... pour l'attaque"

Sans dire un "c'est bon, c'est pas grave" ou un "j'accepte tes excuses", le militaire relâcha la jeune femme et s'éloigna de quelques pas en arrière pour laisser de la place entre Jenny et lui. Être trop prêt d'elle, n'était pas bon pour lui.

"Je n'en veux pas de tes excuses. Tu as fait trop de choses pour que je les accepte. Peut-être un jour je verrais. Tu n'as pas accepté les miennes au moment voulu, pour moi maintenant, c'est pareil. Peut-être que ça t'as fait du bien de mettre tout de le monde au courant en me ridiculisant, mais franchement, tu ne sais vraiment pas ce que tu as fais. J'ai des responsabilités ici alors que toi non. Comment tu veux que je dirige mes hommes maintenant avec la photo que tu fais circuler dans la cité. Bien sur toi, tu n'en as rien à faire. Toi, tu as juste à t'occuper de ton pauvre petit ordinateur.

"Je n'en veux pas de tes excuses. Tu as fait trop de choses pour que je les accepte. Peut-être un jour je verrais. Tu n'as pas accepté les miennes au moment voulu, pour moi maintenant, c'est pareil. Peut-être que ça t'as fait du bien de mettre tout de le monde au courant en me ridiculisant, mais franchement, tu ne sais vraiment pas ce que tu as fais.."

Jenny se retourna doucement avant de se masser son épaule pour ensuite glisser sa main vers son bras pour le maintenir, le temps que la douleur parte. Elle écouta John d'une oreille distraite avant de fermer les yeux de nouveau pour faire partir son malaise et ses yeux de chien battut qu'elle ne supportait plus avoir. Jenny savait que plus le temps passé, plus elle ressemblait à une autre personne. Cependant Jenny restait Jenny et même si elle essayait de se voiler à elle même, une partie d'elle serait toujours incrusté en elle.

"Faudrait peut être que tu te demandes pourquoi je l'ai fais.. mais pour ça t'a juste à rembobiner dans ta cervelle pour trouver le bon moment, je te l'ai dis tout à l'heure"

"Comment tu veux que je dirige mes hommes maintenant avec la photo que tu fais circuler dans la cité. Bien sur toi, tu n'en as rien à faire. Toi, tu as juste à t'occuper de ton pauvre petit ordinateur."

"Ce n'est pas mon probléme ça... et tu as raison j'en ai rien à faire... si tu sais gérer deux liaisons en même temps tu seras certainement gérer ce qu'il t'arrive.. Je te fais confiance ! Quand à moi, mon ordinateur je l'ai mit en vacance depuis un certain temps"

**Tien ça me fait penser que je lui est aussi fait une crasse à ce niveau, pourrissage powaaaaaaaa
- ...
- rabajoie, dégage**

"I think... that we said everything.. On sait parfaitement tout les deux où s'en tenir.. Pour le moment je préféres que l'on reste éloigné loin de l'autre avec une distance de sécurité si l'on peut." fit-elle d'un ton monotone sans vie dans sa phrase comme si elle était blasé de la vie ^^. "Dès que je te vois... ça...réveille m..ma..... on s'en fou" conclua-t-elle pour ne pas laisser échapper ce qu'elle ressentait exactement en sa présence, c'est à dire qu'elle avait l'impression qu'on lui rouvre ses bléssures alors que la plaie était loin d'être cicatrisé.

Elle fit quelques pas sur le côté pour s'éloigner.

"Je ne te supportes plus... j'arrive plus à.. à te regarder en face... Désolé"

Après ses quelques mots, elle baissa la tête avant de se mettre à courir pour s'éloigner au plus vite de ce malaise transparant qui l'oppréssait depuis le temps où elle était avec lui.

--> somewhere

John ne préféra rien ajouter aux dires de la jeune femme. Il pouvait en partie comprendre pourquoi elle a fait ça, mais elle ne se rendait pas compte de la gravité de la chose. Puis, elle préféra partir en premier. Le militaire la regarda d'éloigner en courant. Elle le fuyait aussi rapidement qu'elle le pouvait. John baissa la regard. L'avoir affronter de la sorte avait fait ressortir en lui le souvenir de leur dispute avant de rompre. Souvenir pas vraiment agréable. Il effaça ses pensées en secouant légèrement sa tête. Il devait passé à autre chose. Maintenant, il devait faire face à la moquerie des gens qu'il croiserait. Et là, il n'avait pas finit. Cela allait durer un moment.

Bureau

Bureau normalement

John avait eut du mal à quitter Larrin après l'annonce qu'elle lui avait fait même si, il avait tout tenter pour l'en empêcher. Le militaire naviguait dans le vague, dans le dédale de couloirs de la cité, sans but précis pour le moment. Trop de choses se promenaient dans sa tête. Pour le moment, il n'avait plus rien envie de faire. Ou si, aller boire un bon verre dans ses quartiers. Mais il se souvint de se que lui avait dit Rodney : l'alcool n'était pas la meilleur solution. Oh et puis au diable les conseils. John était assez grand pour se débrouiller tout seul. Il se mit en quête de trouver un téléporteur pour aller dans ses quartiers, évitant un maximum de monde.

de je ne sais pas où

Sam avait eu vent de ce qu'il s'était passé au mess. Entre Bad John qui avait tué quelqu'un, et ces photos qui avaient fait le tour de la cité en moins de deux secondes, montrant un Sheppard dans une situation plutôt humiliante, la vie avait été mouvementée sur Atlantis. Plus personne ne voyait John, ce dernier s'étant terré dans son bureau. Sam, quand à elle, continuait de surveiller Jenny, mais cette dernière lui avait faussé compagnie pour aller sacager les quartiers de Larrin. Ce n'était pas Sam qui allait la plaindre (désolée, je n'ai rien contre toi^^). Après tout, la militaire prenait plus le partit de Jenny que de John, bien qu'elle n'aimait pas ce qu'elle était entrain de devenir. Au détour d'un couloir, Sam vit John marcher rapidement, apparemment pressé d'arriver au téléporteur. Rien que le voir la mettait en colère, à cause de ce qu'il avait fait. Si c'était Rodney qui avait agit comme ça, la la jeune femme se serait peut être comporté comme la scientifique. Ne jamais tromper une femme, surtout quand on disait qu'on l'aimait. Sam pressa le pas, et se plaça devant John, croisant les bras. Elle ne dit pas un mot, se contentant juste de le regarder avec des yeux noirs, où le militaire pouvait y lire des reproches. Après tout, Jenny était son amie, et c'était peut être la solidarité féminine qui parlait. Mais, Sam n'arrivait pas à comprendre pourquoi John avait fait ça, ni à lui pardonner.