Dépression en vue...

John enleva totalement la couverture, se releva du lit et s'assit sur le bord. Il regarda Keller avec un regard noir.

"Vous savez quoi, j'en est rien à faire. C'est ma vie et je fais ce que je veux avec et je suis assez grand pour décider de mes choix. C'est pas à vous de choisir ce que je fais."

"Peut-être que vous êtes assez grand comme vous le dites.... mais là vous vous comportez comme un gamin, vous ne pensez qu'à vous."

**tu compte l'aider comme ça
- ....**

Puis quand il se releva et se mit assit sur le bord du lit, elle s'approcha de nouveau et se posta devant lui pour l'empecher qu'il s'en aille.

"Ecoutez moi... je sais que dans votre vie vous avez beaucoup souffert.... mais il ne faut pas se laisser aller au désespoir comme ça. Vous voulez finir comme le major Carter ? moi je ne crois pas. Si vous avez besoin d'aide je suis là, ainsi que ce que vous aimez et qu'il vous aime quoique vous fassiez."

Puis elle posa une main sur l'avant bras de John.

"Mais sachez que si vous me forcez... j'emploirais des méthodes peu satisfaisante pour vous... alors ne m'obliger pas" fit-elle en soutenant son regard ^^ et en essayant de le remettre allongé.

John se libéra de Keller qui voulait qu'il se rallonge. Il se mit debout, face à Keller qui le soutenait toujours du regard.

"Oh Doc, arrêtez ! C'est que vous me feriez presque peur quand vous vous y mettez. J'en tremble. Et vous aller faire quoi exactment pour que je tremble encore plus ? Vous allez dire à vos gorilles de me stopper. C'est pas ça qui va le faire."

John regarda Keller au fond des yeux pour la soutenir du regard. Il avait bien vu qu'elle avait prit une seringue de sédatif pour le calmer un peu.

*Désolé ma petite, je ne vais pas me laissez avoir comme ça.**

"Vous savez, je... n'en... veux... pas... de votre aide."

A peine eut-il fini sa phrase qu'il réussit à prendre le poignet de Keller qui tenait la seringue qu'il prit par la suite. Puis, il réussit à faire retourner puis, il lui passa un bras autour de la gorge. Ensuite, il menaca Keller en lui mettant l'aiguille de la seringue sur la carotide, pret à l'enfoncer.

"Alors, Doc ! Toujours aussi sur de vous ma chère. Je ne veux pas vous faire de mal mais si vous continuez à me pomper l'air, je serais peut-être obliger. Mais ça ne m'enchante pas."

Quand elle vit John prendre la seringue de Keller et la retourner contre elle en la prennant en "otage" elle écarquilla les yeux.

**Mais il péte vraiment un plomb c'est pas possible là
- t'as réfléchit à tout ce qu'il a subi
- oui je sais... mais moi déjà que Sam et comme "out" moi je n'ai plus personne a part lui.. bon bien sûr il y a carson mais ce n'est pas la même chose
- .......... et bien arrete le car là Jennifer va passer un mauvais quart d'heure.**

Puis voyant qu'il était près à tout, elle s'approcha telle un lynx et prit un plateau sans rien de dessus et s'approcha du militaire.

**désolé mon amour... mais tu m'y oblige**

Puis d'un violent coup, elle frappa John qui lacha prise et alla se rattraper à un lit. Jennifer elle tomba à terre. Jenny laissa le plateau sur un lit et dit à l'attention de John encore dans les vapes à moitier.

"JOHN !!!!!!!!!! ça suffit, il faut que tu te calme.... s'il te plait... de toute facon tu ne pourras pas sortir d'ici... alors s'il te plait calme toi, je peux t'aider si tu veux mais il faut que tu t'appaise"

Puis elle vit la seringue à terre, elle donna un coup de pied dedans où elle atterit dans un recoin de l'infirmerie.

John tenait toujours en joue Jennifer avec la seringue. Mais, tout d'un coup, quelqu'un tenta de l'assomer par derrière. Il lacha la seringue ainsi que Keller qui tomba à terre. Sous le choc, il trésaillit mais se rattrapa à un lit. Il se releva en vitesse et se retourna. Il vit qu'il s'agissait de Jenny.

"Là, tu me déçois vraiment. Si tu m'aimais vraiment tu m'aurais laissé dans ce Jumper au fond de l'océan."

John s'avança doudement devant Jenny pour se poster bien devant elle.

"Pourquoi vous ne me laissez pas faire ce qui est le mieux pour moi ? Je ne vous ai rien demander alors foutez moi la paix."

Jenny resta face à Sheppard en essayant de garder la tête froide, malgrè les sentiments qui l'envahissait... mais le fait que ce dernier lui dise que si elle l'aimait, elle aurait du le laissez mourir, elle secoua négativement sa tête.

"Ah oui ! et bien je suis désolé mais je vais encore te décevoir c'est moi qui est prit les précautions pour les sorties ou que se soit ici ou ailleurs, c'est dommage n'est-ce-pas ?"

Puis elle fit un petit pas vers lui qui la foudroyait du regard pourtant elle soutena le sien de ses yeux noisettes, son coeur battait à 100 à l'heure.

"Tu pourrais m'écoutais quelques secondes. Tu dis que tu veux tout lacher que tu n'en peux plus.. et la seule facon que tu a trouver pour y mettre fin c'est de te suicider. C'est lache. Et tu fait souffrir les autres... plus que tu ne le crois. Moi aussi j'ai eu mes moments de coup de blues surtout après ce que Sylas m'a fait mais j'ai toujours sut relevé la tête... en acceptant de me faire aider et notamment par toi...." fit-elle dont les yeux commencait à briller, car au fond d'elle, elle avait mal. Mal de le voivr se détruire comme ça.

"Et moi je peux faire pareil... même si ça prend du temps alors s'il te plait ne dit pas que je ne t'aime pas... parce que c'est faux"

Jenny disait tout ça face à jennifer qui s'était reculé un peu vers le mur de l'infirmerie à quelques mètres pour mettre de la distance.. mais de toute facon elle était au courant de leur relation donc ce n'était pas si grave.

"Allez reprend toi" fit-elle en posant une main doucement en hésitant un peu sur son avant bras.

John écouta tout ce que lui disait Jenny, ce qui le fit réfléchir un instant.

**- Elle a raison John, elle peux t'aider à suremonter tes problèmes.
- J'ai pas envie.
- De toute façon, t'as envie de rien donc c'est facile.**

"Peut-être que c'est lâche et ça fait souffrir toutes les personnes qui sont autour de moi mais au moins, j'ai eut le cran d'essayer parce que MADAME à tout fait pour que j'échoue. Moi je en reste pas comme toi à pleurnicher et à me plaindre ou encore comme Carter qui a péter un plomb et qui est amnésique maintenant, je préfère agir. C'est dans mes gênes. Et si ça te dérange, je n'en ai rien à faire."

Ce que disais le militaire lui faisait ressentir une sensation étrange, indescriptible.

"Et tu vois ou ca te mène.... tu t'es regardé à cet instant précis, tu n'es plus toi. Et ne me sous estime pas car je suis capable de faire des choses plus horrible que tu ne le crois... ne me pousse pas à bout, c'est pas le moment"

Puis vut que ce dernier lui soutenait toujours son regard, elle lui mit une claque sur la joue de force moyenne.

"Ca c'est même pas l'entrée.... et même pas le tiers de ce que j'ai fait à des être humains pour te retrouver avec Kolya !!!!"

John se prit sans broncher la baffe que Jenny lui envoyé. IIl pouffa de rire et secouant de la tête.

"C'est sur si tu t'étais amusé à donner des baffes comme tu viens de le faire, aux Geniis, c'est vrai que c'est pas très efficace. Tiens, tu vas voir ce que c'est de donner une baffe."

Sheppard décrocha un baffe monumentale à Jenny. Auparavant, il n'aurait jamis osé lever la main sur elle.

"Tu vois, CA, c'est une baffe."

Jenny ne vit pas arriver la baffe de John qui ressemblait pour elle plutot à une "mendale". Sous l'impact, la scientifique vacilla sur le coté et dut se retenir au lit. Elle porta une main à sa lèvre inférieur et la retira avec un peu de sang dessus.

**Waaaaaie, j'y crois pas, il a osé me frapper
- Tu l'as chercher aussi
- Mais j'aurais pas cru
- et ben tu voi
- oh la ferme**

Puis ses yeux se couvrirent d'un voile brillant qui troublait sa vue, elle se retourna lentement vers le militaire et lui lanca un regard noir tout en tenant sa joue.

"Tu me décois" fut ses seuls mots, tout ce qu'elle disait ne touché même pas la surface de son être et le voir comme ça ne lui procurait qu'un sentiment de tristesse doublé d'un sentiment de deception profonde.

**- Je suis désolé ma chérie, je voulais pas.
- Non mais t'es grave toi.
- Mais j'y peux rien. Je viens quand même de frapper ma futur femme.
- Euh... au point où tu en es, je crois que tu n'as plus de futur femme.**

"Peut-être que je te déçois mais toi tu fait bien pareil."